top of page

LES PETITS CONTES DU DIABLE

d'après l'œuvre de Leonora Carrington

RPQE7956.JPG

Compagnie 

Année

Postes

Thèmes 

# IMAGES Invisible

# POESIE Surréaliste

# THEATRE Binaural

Théâtre de l'incrédule

2025

Mise en scène | Benjamin Lazar
Comédienne | Jessica Dalle

Comédienne et metteure en scène | Alix Mercier

Comédien | Antoine Sarrazin 

Composition et création sonore| Pedro Garcia Vélasquez

Ingénieur du son |  Joan Cunha

Conception lumière | Camille Mauplot

Régie Lumière | Sébastien Vergnaud 

Production | Théâtre de l'Incrédule 

Diffusion |  Charlotte Batteux

Crédit Photo | Joseph Paris et Charlotte Batteux

SYNOPSIS

On part à l'aventure quand on écoute un conte, et, même, on tente toujours un peu le diable qui peut surgir dans les détails ou au coin de la rue. Léonora Carrington (1917-2011) peintre et autrice, a écrit des contes comme des rêves éveillés, libres comme ses peintures surréalistes, drôles et inquiétants à la fois, où les désirs et les peurs prennent la forme de chevaux parlants et de lapins carnivores, où les arbres sortent de terre et les mouches diaboliques entrent dans la bouche. De cet univers imprévisible, lieu où sont bienvenus tous les êtres bizarres et décalés, le Théâtre de l'incrédule a conçu un voyage visuel, sonore et musical, dans la tradition des contes théâtraux et musicaux inaugurée par Ramuz et Stravinsky en 1917.. Ce spectacle tout public est une ode à la liberté intérieure que procurent l'écriture et la lecture.

NOTE D'INTENTION - SCENOGRAPHIE

L'espace ici est pensé autour de la pratique du son Binaural.  Chaque spectateur muni d'un acque assiste à un théâtre sonore et mental qui se déploie essentiellement par les oreilles. La lumière est feutrée et l'espace se construit sous les yeux du public... lorsqu'il accepte de les ouvrir. Le choix d'un revêtement total en moquette rouge, que l'on retrouve dans les tableaux de Leonora Carrington, permet de mettre en valeur les accessoires et les outils de fabrique du spectacle, de changer de couleur grâce aux changements de lumière et d'étouffer les bruits parasites qui troublent l'écoute. Le spectateur est plongé dans un univers très identifié mais pas tout à fait identifiable.

bottom of page